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Les consignes
Les étudiant.es doivent réfléchir sur l’importance de la soutenance de Master 1 pour faire évoluer le sujet, son intitulé et le type d’histoire à réaliser ; décrire le nouveau sujet et prévoir les objectifs de la recherche ; préciser les interactions avec les chercheurs ; réaliser un planning du travail en m2.
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Les billets
- Alessandro Bessy, L’après M1 : la soutenance comme tremplin avant le grand saut
- Lauréline Brousse, Celle qui croyait avoir compris son sujet
- Elizabeth Boussie, Du foie gras, encore et toujours, mais en réseau !
- Camille Cazalé, Du M1 au M2 ; nouveaux regards sur la prostitution
- Eva Cot, Le cheminement d’une jeune historienne
- Dominique Dath, Future chronique marxienne
- Stéphanie Delmotte, Dorénavant, élever son point de vue
- Steven Dunn, Le mémoire : un travail en constante évolution
- Cyrielle Forses, Rebelle ou pas (vraiment) rebelle : telle est la question
- Pierre Hamdi, Claude Bourdet, homme de réseaux et journaliste engagé
- Julia James, Entre vertige et aplomb
- Lisa Laborde-Tuya, Il faut revoir sa copie !
- Isabelle Laur, L’œuvre au noir : vers une prosopographie des élites quercynoises entre 1561 et 1793
- Quentin Laurensan, La soutenance dans son sillage : l’Hermione maintient son cap !
- Frédéric Lemaire, Tempus fugit : de Bernard Dadié à Diaoulé Karamoko
- Gautier Louyriac, Du M1 au M2, stupeur et tremblements ?
- Cédric Mazel, Que reste t-il des brigands ?
- Mathias Quéré, Les années disco ou la fin du mythe révolutionnaire
- Hugues Raynaud, Des femmes et des Lettres : itinéraire d’un sujet
- Lisa Ribo, Immersion dans l’imaginaire occitan
- Samuel Roques, Du Master 1 au Master 2 : nouveaux acteurs, nouveaux enjeux
- Nicolas Roussel, La soutenance de Master 1 : carrefour giratoire du mémoire
- Claire Roulot, And now for something completely different…
- Maxime Séguéla, Fille aînée de l’Église et République laïque : « je t’aime, moi non plus »
- Raphaëlle Talbot, Les Italiens dans le Midi toulousain : coup d’oeil sur leurs accueils
- Tristan Valéry, Une année atypique
- Béatrice Vogley, Le petit vieux malade de l’Europe : le retour !
La synthèse
À la lecture de cette première série de billet, l’importance de la soutenance se révèle dans toute son ampleur. Elle est l’occasion de “nouveaux regards” ou de “retours critiques” ; les étudiants l’assimilent à une “épreuve” ou à un “tremplin” : de toute évidence, la soutenance a durablement marqué les esprits des “apprentis chercheurs”, “chercheurs en herbe” ou “compagnons de doute” comme ils se nomment eux-mêmes.
Tous célèbrent l’importance de ce moment dans la construction de leur nouveau sujet et sur le regard qu’ils portent sur leur parcours de jeune historien.ne. Aucun d’entre eux n’a parlé de rite initiatique mais tous en ont célébré le sens : ils ont survécu au jury et en sont sortis grandis, même si cela n’a parfois pas été sans douleur. La soutenance a fixé le cap de cette nouvelle année, proposé de nouvelles pistes et suggéré de nouvelles méthodes. La volonté de réaliser des études lexicométriques ou prosopographiques, de dépasser le prisme d’analyse historiographique et frayer son propre sillon dans la matière historique s’ajoute à l’historiographie maîtrisée la première année.
